Les effets de la mobilité internationale des jeunes commencent à être reconnus : acquisition de savoirs (sur la culture…), de savoir être (confiance en soi, autonomie, prise d’initiative…), de savoir faire (compétences interculturelles, linguistiques…).
Autant de compétences transversales qui sont des accélérateurs de citoyenneté active et d’insertion professionnelle des jeunes.
Malgré les politiques incitatives développées depuis plusieurs années, cette mobilité touche encore trop peu les « jeunes ayant le moins d’opportunités ».
En effet, les jeunes cumulant plusieurs obstacles (en termes de soutiens familiaux, d’éducation, de santé, d’enclavement, financiers…) perçoivent encore mal l’intérêt de vivre une telle expérience à l’international. De plus, leurs accompagnants travaillant au sein de bureaux information jeunesse, missions locales, associations d’éducation populaire…ont tendance à considérer ces projets comme de véritables parcours du combattant ce qui les décourage parfois à accompagner les jeunes dans cette voie.
1. Comment les dispositifs de mobilité internationale des jeunes peuvent-ils faire face à ces obstacles ?
2. De quels accompagnements peuvent bénéficier les professionnels de la jeunesse pour amorcer un projet de mobilité ?
3. Quels enjeux perçus par les jeunes et leurs accompagnants à l’issue de leurs expériences de mobilité ?
4. Comment créer un réseau au service de la mobilité internationale des jeunes des quartiers populaires ?
Inscriptions :
https://www.inscription-facile.com/form/KIMY4cUBvPWXdNrsQ142