Votre résidence longue s’achève en juin. Quel bilan tirez-vous de ces 3 ans au CND ?
« Il est évidemment extrêmement positif. La chance pour un artiste, en l’occurrence un chorégraphe, de travailler sur une durée plus longue devient une opportunité rare. Apprendre à suivre un public, c’est autre chose que d’organiser un spectacle et de dire « Merci, au revoir ». Cette expérience tisse une relation particulière qui est vraiment bénéfique. C’est un cadre où on doit essayer de faire décélérer la société et la rendre plus durable. »